AccueilAccueil  Dernières imagesDernières images  RechercherRechercher  S'enregistrerS'enregistrer  ConnexionConnexion  
-50%
Le deal à ne pas rater :
-50% Baskets Nike Air Huarache Runner
69.99 € 139.99 €
Voir le deal

Partagez
 

 Exorcism, you say ? - Triss

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
AuteurMessage


Howard Meyrick

‹ MESSAGES : 109
‹ DATE D'ARRIVÉE : 02/08/2015
‹ L'ENDROIT : Entre ciel et terre, dans les ombres d'une guerre imminente, et silencieuse

EVIL SPIRITS IN HEAVENLY PLACES

Exorcism, you say ? - Triss Empty
MessageSujet: Exorcism, you say ? - Triss   Exorcism, you say ? - Triss EmptyLun 24 Aoû - 22:55

Exorcism you say ?
Qu'y-a-t-il au dessus de l'ardente alliance de deux libertés ?


Quartier des plaisirs, quartier des damnés, à la faveur d’une nuit presque tombée. Ciel exquis, par l’aquarelle du crépuscule chamarré, atmosphère presque apaisée, dans l’entre-deux-temps, juste avant l’ultime lumière du jour. Et pourtant, la masse en mouvement, active, ne s’était pas encore dispersée. Elle perdurait compacte et affairée, toute à ses activités… et lui les observait, depuis son assise, comme un vautour. Mais un vautour contrarié. Il ne s’était nullement attendu à pareille déception, lorsqu’il avait entamé ses recherches. Il en était là, une piste close par cet auguste que sa famille, pourtant, réclamait comme amant. Mort était passé par-là, emportant dans son chariot cliquetant, le prêtre qui aurait pu l’appuyer dans sa quête contre le décadent. A bien y réfléchir, il semblait qu’il s’était jeté une nouvelle fois dans un piège d’Eurynome, démon sournois qui n’hésitait jamais à se jouer de ses prétentions à le détrôner. Affirmer alors qu’Elie avait volontairement laissé l’information filtrer et entre ses mains tomber ne semblait plus si aliéné. Il en était parfaitement capable, et cela lui ressemblait. Joueuse créature, l’ange tombé avait sans doute trouvé qu’il ne se démenait pas assez pour le menacer, ces temps-ci, ce qui s’expliquait, raisonnablement, par ses intérêts à un autre futur affrontement. Avec la confrontation future qui l’attendait, et qui, de la famille Meyrick, embraserait jusqu’aux racines, il ne pouvait rester entièrement focalisé sur le prince infernal qu’il avait défié. Oui, sans doute était-ce cela… Elie avait voulu le faire courir après un décédé, lui donnant l’ombre d’une opportunité pour mieux relancer leur rivalité. Et l’occasion avait été si belle qu’il s’était empressé d’enquêter, pour découvrir que ce fameux père James que le démon semblait tant craindre, déjà lui appartenait, à cette Mort incarnée. Quoi que la question de son âme se posait.

Après ce premier écueil dans lequel il avait foncé, le nécromant qu’il était aurait tout aussi bien pu tenter un quelconque rituel pour pallier à sa contrariété… mais voilà, il s’y refusait. Et bien lui en avait sans doute fait, puisqu’en s’acharnant un peu, il avait fini par exhumer une autre  information digne d’intérêt. Et surprenante, avec ça. Un prêtre la bague au doigt ? Certes, c’était un siècle de libéralité mais… tout de même ! Ce n’était pas que quelque chose, véritablement, clochait, là n’était pas la question n’était pas, c’était plutôt qu’il ne s’y attendait pas, et en restait stupéfait. Peut-être était-ce simplement qu’aux ordres, il ne s’intéressait pas assez. Fort probable d’ailleurs, mais en tout état de cause, cette découverte l’arrangeait. Cette femme, cette Triss, pouvait-elle l’aider ? Son échec ne serait, alors, que partie remise, et si, à la convaincre il parvenait, alors il aurait sans doute une alliée dans son bras de fer avec l’antiquaire rusé. Ça lui apprendrait, au démon…Lui, à son retour, n’avait nullement eut, à son encontre, de mauvaises intentions. Pas encore, en réalité, il y serait venu en temps et en heures, et sans s’en cacher, mais il y aurait certainement gagné répit et clarté. Mais à présent, qu’importait, puisque de toute façon il y était forcé, faux choix offert duquel il n’était nullement dupe et à peine distrait. Agir il lui fallait. Cette femme rencontrer. Et si elle était détentrice des qualités qu’il recherchait ? Qu’Eurynome prenne garde ! Pour son ingérence et pour sa provocation malvenue, il le réduirait, plus encore qu’il ne l’avait souhaité. Triss donc, veuve du prêtre. Après recherches, il semblait que ce fut en ce quartier qu’elle séjournait, ou qu’elle travaillait. L’un comme l’autre, la rencontre permettrait. Ne restait qu’à la provoquer. La rencontre, évidemment. Le contact, déjà, avait été établi, sans qu’il ne donne la teneur de l’affaire, seulement de quoi éviter qu’elle ne le rejette.

Deux jours plus tôt, une brève semaine depuis la déception essuyée. Attendre davantage aurait été malavisé, quant bien même il le désirait, il ne pouvait disposer de son temps aussi librement qu’il l’entendait. Ses obligations étaient nombreuses, sans même parler de la clinique qu’il comptait inaugurer… Nier la frustration que le jeu d’Elie lui apportait aurait été de mauvaise foi jouer, mais après tout… Oui, cela le valait bien. Et alors que la masse, enfin, s’affinait, il se décida à quitter la voiture qui le conduisait. Traversant la rue à présent clairsemée quoi qu’encore peuplée, il s’introduisit dans la boutique indiquée. Entrée sans fioritures, de sa discrétion usitée, son pas légèrement plus claudiquant qu’à l’accoutumée. Juste à temps, sans doute, tard mais pas assez pour qu’on le mette dehors, alors il avance, semblant tellement déplacé dans ce décors, transpirant d’un autre milieu et d’autres idées. Pourtant, nul mépris ou curiosité mal placée, un intérêt pourtant, non dissimulé, et surtout, l’attente motivée. Là pour la rencontrer, quelle autre raison le pousserait à visiter ? Il s’y tenait. « Mademoiselle Walker ? » demande-t-il d’une voix égale et posée, son regard sur elle se fixant, puis la saluant, poursuivant, avec une courtoisie sans excès, d’un baise main ajusté, ne voulant pas plus la froisser que la motiver à quelque inutile minauderie. Il ne la connait pas encore, ne sait d’elle que quelques faits, la découvre sans précocité. « Je vous ait contacté… Howard Meyrick » précise-t-il « Pensez-vous avoir un moment à m’accorder, ou préférez-vous me voir repasser ? » Car il reviendrait, forcément, il ne pouvait se permettre de perdre sa seule piste, sa seule opportunité…

Revenir en haut Aller en bas


Triss Walker

‹ MESSAGES : 56
‹ DATE D'ARRIVÉE : 01/08/2015
‹ DOUBLE-COMPTE : Et de Sa main elle est devenue sienne, belle Reine aux crocs sans pareils - LETO
‹ L'ENDROIT : Là ou les monstres laissent des traces

EVIL SPIRITS IN HEAVENLY PLACES

Exorcism, you say ? - Triss Empty
MessageSujet: Re: Exorcism, you say ? - Triss   Exorcism, you say ? - Triss EmptyDim 30 Aoû - 19:11

Exorcism, you say ?

Ne venez pas après les horaires d'ouvertures. N'essayez pas d'accéder à l'arrière-boutique. Ne posez pas de question. Restez sage, ou je vais déborder. Δ HOWARD&TRISS

Il lui avait dit qu’ils avaient tous des spécialités. Evidemment, le tronc commun était les démons. Succubes. Le genre de chose qu’on voit dans les films d’horreur, dans L’Exorciste, voir même Chucky. En tant que prêtre, et elle, en tant qu’élève, les cornus étaient bien plus qu’une simple base. C’était leur spécialité, leur niche. Parce qu’aider ces pauvres âmes avec un prêtre était plus crédible, et parce que Triss n’avait pas vraiment eu le choix non plus. A force de tenir un registre de ceux affrontés et renvoyés aux enfers, c’est bien plus un carnet répertoriant tout ceux avides de les étriper plutôt qu’un véritable bloc-note pour ne pas oublier. Plus ils se faisaient d’ennemis, plus ils se faisaient d’ennemis. Contrairement aux créatures et autres maudits, les démons ne meurent pas facilement.
Parait même qu’ils sont immortels.
Alors avec la mort de James, Triss a eu un moment de répit. La plupart avait oublié l’homme aussitôt qu’il eut rejoint les limbes, nonobstant l’inutile chose qu’il avait avec lui. Pas agréée. Fausse exorciste. Les quelques malins qui eurent envie de la tuer par plaisir virent leur éternité se raccourcir. Plus elle se faisait d’ennemis, plus elle se faisait d’ennemis.


Pour souffler des incantations tirées d’une Bible dont elle ne croyait pas un seul mot, elle s’est alors diversifiée. Elle a changé sa spécialité, ou du moins, a préféré l’oublier afin de mettre de côté une vie qui ne pouvait lui donner le moindre répit. Seule, elle ne pouvait plus faire face. Sa paranoïa l’empêchait de dormir, quand ce n’était pas les damnés qui venaient la persécuter. Triss n’avait pas peur, non, elle était juste fatiguée. En plus des créatures infernales, elle avait celle terrestres à combattre, ces barges diplômés, crucifix brandit, prêts à la faire cramer sur un bûcher. Faire profil bas, devenir invisible, n’être plus rien. Juste cette vagabonde et sa caisse en carton, juste cette nana qui vient d’emménager au bout de la rue là-bas. Les créatures, les maudits, Each Uisge, wendigo, sirènes, ceux qui meurent un peu comme elle sans laisser de traces ni de menaces, eux étaient devenu ses nouvelles cibles. Le sujet de ses dessins sombres et étranges, difformes et sanglants. Des choses comme elle, rebuts d’un monde qui les a fait ainsi sans pour autant savoir quoi en faire par la suite. Des choses comme elle, à l’exception près qu’ils n’avaient pas eu la chance d’avoir le costume humain adapté.
Howard Meyrick
La voix qui résonnait dans le combiné la fit toutefois frissonner. Elle savait tout sur tout, elle le devait pour pas crever, et pourtant, les sorciers lui faisaient toujours le même effet. Ils n’étaient pas monstrueux. Ils étaient comme elle, vraiment. C’était ce que James lui avait inculqué. Qu’il ne fallait pas chasser ceux qui avaient pêché, non, car cela était du domaine de Dieu. Et dire que c’était un prêtre qui refusait de tous les cramer – et dire que c’était son élève qui elle, ressentait le besoin contraire. Ses doigts s’étaient resserrés sur son téléphone, avant qu’elle ne raccroche prestement. A croire que sa messagerie allait la transformer en grenouille. Elle referma le GSM, et puis, sans savoir si cela était très utile, marqua quelques glyphes sur sa coque.

Le même réflexe la saisit lorsqu’elle le vit. Pas besoin qu’il se présente. Personne ne venait aux heures de fermeture, sauf ceux qui avaient besoin de tout, sauf d’un tatouage.
« Mademoiselle Walker ? »
Même réflexe de vouloir refermer la porte sur le sorcier, et de couvrir celle-ci de runes. Triss savait que c’était inutile, que contre les sorciers, il n’existait que peu de protections physiques. A mesure qu’il s’approchait d’elle, ses doigts cherchaient frénétiquement derrière le comptoir ou elle faisait ses comptes, les diverses armes dont elle disposait. L’éclat discret d’un flingue lui tapa dans les rétines, avant que l’homme ne lui prenne la main. Raide, interdite. Le mutisme froid du prédateur qui rencontrait plus fort que lui s’installa.
« Je vous ait contacté… Howard Meyrick »
« Je sais. »
Elle serra les dents. Maintenant, quoi ?
« Pensez-vous avoir un moment à m’accorder, ou préférez-vous me voir repasser ? »
La main qu’il avait prise pour la baiser délicatement se referma fermement autour de la poignée du tiroir. Le pistolet fut caché, et puis, ça lui donna de la contenance.
« Je préfèrerai que vous repassiez ouais. »
Ses yeux quittèrent ceux sombres du Meyrick pour chercher l’endroit ou elle avait posé son paquet de clopes. Pour lui donner de la contenance. Pour le faire chier même, avec un peu de chance. Elle l’alluma, d’une main légèrement tremblante. Manque de nicotine, probablement. A moins qu’il l’ai empoisonnée quelques secondes auparavant.
« Mais je pense pouvoir me passer d’un second baise-main, alors dites la raison de votre présence ici, comment est-ce que vous avez eu mon numéro – et pourquoi moi ? »
Triss savait tuer les sorciers, savait un peu s’en protéger, connaissait même quelques sortilèges elle-même. Mais Triss savait surtout qu’ils avaient vendus leur âme au Diable, et qui dit Diable, dit démons.
Un nuage d’inquiétude fut soufflé du bout de ses lèvres.
© GASMASK



Revenir en haut Aller en bas


Howard Meyrick

‹ MESSAGES : 109
‹ DATE D'ARRIVÉE : 02/08/2015
‹ L'ENDROIT : Entre ciel et terre, dans les ombres d'une guerre imminente, et silencieuse

EVIL SPIRITS IN HEAVENLY PLACES

Exorcism, you say ? - Triss Empty
MessageSujet: Re: Exorcism, you say ? - Triss   Exorcism, you say ? - Triss EmptyMer 2 Sep - 13:11


S’il ne sent ses peurs, il devine sa raideur, à la tension de la main qu’il tient présentement. Spécialiste des nerfs, il savait reconnaître leur action, une action qu’il causait, certainement ? Mais la cause exacte lui échappait pourtant. Lui aurait-il manqué de respect sans le vouloir, une quelconque forme de reconnaissance qu’il lui devait ? Peut-être était-ce simplement le baisemain, trop rapidement exécuté… voilà qui le contrariait, lui qui avait eu l’intention de se montrer d’une parfaite cordialité. Peut-être devrait-il à nouveau s’exécuter… ? Non, non sans doute ne serait-ce pas une bonne idée, dans le doute et puisqu’elle ne semblait pas le lui signaler, il considérerait que l’offense était, sinon secondaire, du moins excusée. Mais il faudrait sans doute qu’il identifie son erreur afin de ne pas la renouveler, si ils devaient se côtoyer plus d’une fois. Il se relève, garde une distance de courtoisie, mains posées sur son appui, l’observant sans hostilité. La réponse ne le surpris qu’à moitié, mais il en était déjà à l’accepter dignement, et à proposer un rendez-vous dans les règles lorsqu’elle poursuivit, cigarette allumée entre les doigts. Fumeuse donc… Immanquablement, il faillit énumérer les risques sanitaires qu’elle s’infligeait, avant de se fustiger.  N’avait-il pas mieux à faire ? Et puis, ce n’était pas ses affaires.

« Ce n’est sans doute pas un sujet à traiter au beau milieu de votre boutique… mieux vaudrait certainement le reporter ailleurs » Où elle le voudrait, tant qu’ils étaient loin et en sécurité, et tout dans sa voix comme dans sa posture indiquait qu’il était parfaitement sérieux, et plus encore. Pourtant, hélas, il semblait bien que son interlocutrice ne prendrait pas le risque… ce qu’en un sens, il pouvait comprendre, même si cela ne l’arrangeait pas et que la méfiance qu’il cultivait le poussait à répugner parler de tout cela en pareil endroit. Pourtant, il allait bien falloir qu’il prenne ce risque, si elle se refusait à l’accompagner. Pourtant, son regard tout comme son attention ne manqua pas de parcourir les alentours, de la pièce comme de ce que la vitrine permettait d’observer de l’extérieur… Rien à l’horizon, mais ça ne signifiait pas rien à voir. D’occultes précautions auraient été les bienvenues, mais s’il devait y céder, ce serait en toute furtivité. La demoiselle, si elle avait la moindre sensibilité, ne le verrait certainement pas d’un bon œil et il perdrait sa seule opportunité de faire avancer ses projets. Et ça, il n’était pas prêt à l’accepter, aussi ne pouvait-il que se risquer à le lui dévoiler sur place. A bien y réfléchir, oui, elle devait être capable de le repérer, s’il se prenait à user de ses talents cachés…

Alors, revenant à elle, l’observant en cillant légèrement, il se décida à poursuivre, soupirant lourdement. « J’ose croire que le nom d’Elie Mortimer vous dit quelque chose ? » Allons, elle avait été mariée au père James… elle devait bien le connaître, si elle ne l’avait pas elle-même rencontré. Il fallait que cela lui parle, c’était le début de tout, après tout… Le grand démon, dans toute son insanité, qui sous la défroque humain se dissimulait, assumant la vie d’un parfait petit humain avec défauts et qualités, pour mieux approcher de ses proies, les côtoyer et extraire d’eux tout ce qu’il désirait. Bête traîtresse, qui jamais ne jouait franc-jeu, qui jamais ne dévoilait pleinement ce qu’elle préparait… pouvait-on l’en blâmer ? C’était sa nature, mais si l’on ne pouvait l’en blâmer, cela ne signifiait nullement que l’on devait pour autant l’excuser… ou le gracier. Et c’était exactement pour cela, autant qu’en raison de leur duel, qu’il désirait prendre cette nécessité en main… la nécessité de le dépouiller de sa dangerosité, définitivement, s’il… s’ils le pouvaient. «  Elie Mortimer, l’antiquaire le plus éminent de Crimson Peak, que votre époux, le père James connaissait… et ce sous une autre identité » Ton lent, à la diction nette et presque forcée dans son sérieux, les mots étaient lentement déposés, les phrases offertes à l’égal d’un trésor qu’on tenterait de leurs dérober.

« Eurynome, prince des décédés. Le père James s’y intéressait, semble-t-il, de près et Mortimer lui-même semblait, si ce n’est le craindre, du moins s’en méfier… Je cherchais à entrer en contact avec lui, pour qu’il puisse m’aider à mettre un terme aux manigances du démon, mais il semble que celui-ci m’ait pris de vitesse… » La plus infime trace d’amertume fait vibrer sa voix, puis un soupire, et il reprend « J’ai simplement refusé d’arrêter mes recherches à sa mort et je vous ai trouvé, Mademoiselle. J’espérais que vous soyez de la même trempe que celui que vous aviez épousé, et que vous pourriez accepter de me prêter assistance contre Eurynome » Une fois encore, son regard sombre la quitte, caresse la boutique, cherchant quelques traces pouvant lui indiquer que c’était à la bonne personne qu’il s’adressait, lui laissant par la même un moment de silence… pour digérer ou pour préparer une réplique qui le renverrait peut-être… avant qu’il n’achève simplement « Je pourrais vous en dire certainement davantage, si vous décidez que ma demande vaux la peine d’être acceptée…Mais pour le moment, je préfère ne pas m'avancer plus que je ne l'ai déjà fait. Qui sait ce que cela pourrait nous coûter. »
Revenir en haut Aller en bas


Contenu sponsorisé



Exorcism, you say ? - Triss Empty
MessageSujet: Re: Exorcism, you say ? - Triss   Exorcism, you say ? - Triss Empty

Revenir en haut Aller en bas
 

Exorcism, you say ? - Triss

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 1

 Sujets similaires

-
» Triss ~ One day or another, i found you
» WE GET THE WORLD WE DESERVE - TRISS
» SHE FUCKED A PRIEST AND MARRIED THE CHRIST - TRISS

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
EVIL SPIRITS IN HEAVENLY PLACES :: CRIMSON PEAK :: Les plaisirs exquis-